Le dirigeant de Pitit Desalin se veut rassurant sur le départ du président Jovenel Moïse le 7 février prochain. Car, ce n’est pas un départ forcé, mais c’est le mandat du président qui prend fin le 7 février, a-t-il analysé sur Magik 9, ce matin.
Le 7 février prochain annonce la fin du mandat constitutionnel de Jovenel Moïse, rappelle l’Ex-sénateur du Nord, Moïse Jean Charles. Et pour le remplacer, son Parti, Pitit Desalin, a fait une proposition de sortie de crise.

Cette proposition, la 4e après celle de la Direction politique de l’opposition, du Secteur démocratique, de l’ancien sénateur Steven Benoît, s’inscrit dans le cadre des revendications de l’opposition, sauf précision, le Parti Pitit Desalin opte pour le choix d’un juge à la Cour de Cassation “à condition qu’il n’a pas été choisi par le pouvoir PHTK.” À propos du Parlement, Moïse Jean Charles compte le mettre de côté.
Le Parti Pitit Desalin dans sa proposition a un plan aussi pour améliorer les conditions de vies de la population, et pour mettre fin à l’insécurité dans le pays qui selon le leader de l’opposition est alimenté par des hommes du pouvoir et du secteur privé des affaires.

Plus loin, Moïse Jean Charles sur le dossier du taux de change, critique les banques haïtiennes qui profitent de la faiblesse de l’État pour faire de l’argent au détriment de la population.
Moïse Jean appelle le président Jovenel Moïse à ne pas faire la sourde oreille, car cela sera profitable à la population qui pourra révolter contre tout le système.